Que faire des désirs, des siens, de ceux de nos enfants ? Les satisfaire, mais n'est-ce pas paradoxalement cultiver le manque, l'insatisfaction, les comportements capricieux et compulsifs ? Les écarter, les censurer, mais est-ce gagner en puissance ou mener une vie d'impuissance ? Pouvons-nous cultiver nos désirs sans en devenir esclaves ?