La vitesse, le capitalisme et l’homme moderne
Quelles sont les origines de cette mutation qui semble nous procurer davantage de souffrances que de satisfactions ?
Rêvez-vous parfois d’échouer sur une île déserte ou bien d’une retraite loin du bruit du monde ? Avez-vous le sentiment de courir sans cesse après l’aiguille d’une montre qui avance toujours trop vite ? Votre ordinateur met-il trop de temps à s’allumer ? Le temps consacré à attendre à la caisse du supermarché ou dans la salle d’attente du cabinet médical est-il pour vous un temps « perdu » ? Vous arrive-t-il de faire plusieurs choses à la fois ? Oui ? Rassurez-vous : vous n’êtes pas seul. Personne n’échappe à « l’accélération » du rythme de vie.
Depuis des siècles, nous avons pourtant réussi, dans tous les domaines de la vie, à « gagner » du temps. Nos vies se sont considérablement allongées et le temps consacré au travail professionnel a considérablement diminué. Or, nous éprouvons en permanence le sentiment d’en manquer. Pire, lorsque nous disposons de temps « libre », nous l’occupons par des activités qui n’apportent pas toujours un évident supplément de bonheur ou de bien être… Étrange monde…
Selon nous, trois séries de questions se posent. Chacune fera l’objet d’une conférence.
Participation :
5€, adhérent UP 3€, étudiants & A.R.E gratuits. 15€ pour les 6 conférences « Violences et délinquances » et « La dictature de l’urgence » si adhérent
Ce cycle est proposé par Marie-Jo Egger et Marc Gindre et se termine par une présentation d'extraits de film sur même thème, présentation animée par Abderrahmane Bekiekh