Les changements climatiques à l'horizon 2050, et surtout 2100, ne peuvent être caractérisés avec certitude aux échelles fines, celles des territoires des sociétés humaines. Dès lors que les travaux scientifiques des climatologues quittent le domaine de la recherche, pour passer à celui de la politique (internationale, nationale, régionale, locale), de nombreuses questions se posent. Le consensus est-il possible compte tenu de la diversité des conditions naturelles, sociales, économiques, culturelles ? Quant aux leviers d'actions, qui est légitime pour définir les priorités des uns et des autres ? Et comment les mettre en œuvre ? Des exemples seront pris entre autres en France et dans les régions de climats froids.
Entrée libre.