Pauline Bazignan, née à Paris en 1974 où elle vit et travaille aujourd’hui. Entre effacement et apparition, des gestes simples et minimaux se répètent sur le papier ou dans l’argile. Tant fragiles que puissantes, des fleurs aux allures de mondes célestes apparaissent et sont la trace de cycles de vie et de mort. Ce dialogue avec les éléments naturels, soit l’eau pour la peinture et le feu pour la sculpture, est un éloge de la transformation et des mutations. (Martine Derrien). Entrée libre.